(Français) Effacer quelques traces du passé !

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[/caption]La nouvelle bande de prés jouxtant la maison sera maintenant beaucoup plus facile à faucher et à entretenir. Les buissons de ronces qui frangeaient ce mur en particulier et que nous n’arrivions pas à faire disparaître ne sont plus.

Et nous avons effacé quelques traces du passé. D’un passé assez lointain car l’hétérogénéité de taille et de forme des pierres qui constituaient ce mur nous renvoie vraisemblablement trois siècles en arrière.

 

 

[/caption]Un mur, ancien, découpait la pente en deux parties en bordure immédiate du gîte, du coté nord-ouest (http://gite.fudral.com/le-saviez-vous/un-peu-de-science/cailloux-de-nos-jardins/) Ce mur fait en pierres sèches de tailles très différentes menaçait de s’effondrer, tout particulièrement la partie située au-dessous de la cunette des eaux pluviales de la route départementale sus-jacente. Sans doute les eaux issues de cette cunette ont-elles nuit à la stabilité de ce mur. On voyait en effet les pierres du sommet du mur se disjoindre et venir progressivement en surplomb de leur base.

Avec l’aide d’une pelle mécanique, d’un perforateur et de coins écarteurs, nous avons d’abord déposé chacune des pierres de ce mur puis débité les plus grosses pierres fichées dans le sol et enfin trié ce qui pouvait servir pour un mur et pour des enrochements. Une fois le mur totalement démoli, nous avons réglé la pente nouvelle pour la mettre plus ou moins en continuité avec les pentes voisines et finalement évacué la pierraille inutile sur un dépôt de matériaux à l’entrée de la forêt, en direction du hameau du Miroir.

Il aurait été possible de reconstruire ce mur. Cependant, il ne soutenait qu’une toute petite bande de terres de 66 m2 de surface et venait interrompre la continuité de notre propriété comme indiqué sur l’extrait de plan cadastral ci-dessous ( http://www.cadastre.gouv.fr )

[et scan du plan en photo].

La nouvelle bande de prés jouxtant la maison sera maintenant beaucoup plus facile à faucher et à entretenir. Les buissons de ronces qui frangeaient ce mur en particulier et que nous n’arrivions pas à faire disparaître ne sont plus.

Et nous avons effacé quelques traces du passé. D’un passé assez lointain car l’hétérogénéité de taille et de forme des pierres qui constituaient ce mur nous renvoie vraisemblablement trois siècles en arrière.