Jouer et lire c’est vivre

Publié par ecombelles.admin le

Jouer c’est vivre, ce ne sont ni les comédiens ni les enfants qui nous contrediront.

Jouer à l’extérieur.

Même en hiver, quand il neige, surtout quand il neige toute une journée. Courir dans la neige, se rouler dans la poudreuse, faire des boules, des grosses pour monter un petit fort ou un gros bonhomme, courir encore, faire de la luge, s’épuiser, se tremper et rentrer pour jouer de nouveau mais dans le gîte.

Jouer à l’intérieur.

Avec des jeux nouveaux qui sont disponibles au gîte, pour les petits mais aussi pour les grands, des jeux dans de toutes petites boites, des jeux de poche et de conception bien différente de nos anciens jeux : Dobble et Hanabi par exemple.

Hanabi-un-jeu-coopératif

Le plus original de ces jeux c’est « Hanabi », jeu novateur en ce sens qu’il s’agit d’un jeu coopératif, plutôt pour les grands, dont l’objectif commun aux joueurs est ici de réaliser un feu d’artifice. Dans le défi proposé, la mémoire et l’entraide sont les clés de la réussite.

Lire au gîte.

Ni les ouvrages ni les BD ne manquent dans l’appartement. Le choix commence à être important et il ne devrait pas être difficile de dénicher un livre intéressant.

Et jouer avec les mots aussi.

On ne peut oublier le livre déjà ancien de Jacqueline de Romilly, « Dans le jardin des mots ».

On se délectera de ceux de Prévert « De deux choses Lune. L’autre c’est le soleil » ou bien encore de ceux de Coluche moins délicats mais toujours bien vivants « Se pencher sur son passé, c’est risquer de tomber dans l’oubli » ou bien « Ce n’est pas parce que l’homme a soif d’amour qu’il doit se jeter sur la première gourde ».

On appréciera enfin, on savourera même les aphorismes de Sylvain Tesson dans son ouvrage publié chez Univers Poche « Pocket » : « Aphorismes sous la lune et autres pensées sauvages ». Ses mots ajustés font sourire et rêver : « Se sentant observée, une étoile fila » ; « Un paysan ignorant dans un champ cultivé » ; « Vin, le fruit est dans le verre » ou bien encore « J’aime flâner avec elle, sans L, je fane ».

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